ISO 10370:2014 spécifie une méthode pour la détermination de la quantité de résidu de carbone obtenue après évaporation et pyrolyse d'un produit pétrolier dans des conditions spécifiques. La méthode s'applique aux produits dont le résidu de carbone est compris entre 0,10 % (m/m) et 30,0 % (m/m). NOTE 1 La valeur de résidu de carbone donne une idée de la tendance de produits pétroliers à former des dépôts carbonés dans des conditions de dégradation similaires. Elle peut être utile dans l'évaluation des tendances relatives à former des matières carbonées de produits d'une même catégorie. Il est recommandé dans ce cas d'être prudent dans l'interprétation des résultats. Pour les produits dont le résidu de carbone est supérieur à 0,10 % (m/m), les résultats sont équivalents à ceux obtenus suivant l'essai de résidu de carbone Conradson (voir ISO 6615[1]) dans l'intervalle compris entre 0,10 % (m/m) et 25,0 % (m/m) (pour de plus amples précisions, se reporter à l'Annexe A). ISO 10370:2014 peut également s'appliquer aux produits pétroliers constitués essentiellement de distillats et dont le résidu de carbone est inférieur à 0,10 % (m/m). Sur de tels produits, un résidu de distillation de 10 % (V/V) est préparé selon le mode opératoire donné en 7.3.1 et 7.3.2 avant analyse. Les constituants formant des cendres, tels que définis dans l'ISO 6245,[2] ainsi que les additifs non volatils présents dans l'échantillon, augmentent la valeur du résidu de carbone et leur contribution est incluse dans la valeur totale reportée. NOTE 2 Les nitrates organiques additionnés dans certains combustibles distillés conduisent à des valeurs anormalement élevées de résidu de carbone. La présence de nitrates d'alkyle dans un combustible peut être détectée selon la méthode d'essai ISO 13759[3].
ISO 10370:2014 spécifie une méthode pour la détermination de la quantité de résidu de carbone obtenue après évaporation et pyrolyse d'un produit pétrolier dans des conditions spécifiques. La méthode s'applique aux produits dont le résidu de carbone est compris entre 0,10 % (m/m) et 30,0 % (m/m).
NOTE 1 La valeur de résidu de carbone donne une idée de la tendance de produits pétroliers à former des dépôts carbonés dans des conditions de dégradation similaires. Elle peut être utile dans l'évaluation des tendances relatives à former des matières carbonées de produits d'une même catégorie. Il est recommandé dans ce cas d'être prudent dans l'interprétation des résultats.
Pour les produits dont le résidu de carbone est supérieur à 0,10 % (m/m), les résultats sont équivalents à ceux obtenus suivant l'essai de résidu de carbone Conradson (voir ISO 6615[1]) dans l'intervalle compris entre 0,10 % (m/m) et 25,0 % (m/m) (pour de plus amples précisions, se reporter à l'Annexe A).
ISO 10370:2014 peut également s'appliquer aux produits pétroliers constitués essentiellement de distillats et dont le résidu de carbone est inférieur à 0,10 % (m/m). Sur de tels produits, un résidu de distillation de 10 % (V/V) est préparé selon le mode opératoire donné en 7.3.1 et 7.3.2 avant analyse.
Les constituants formant des cendres, tels que définis dans l'ISO 6245,[2] ainsi que les additifs non volatils présents dans l'échantillon, augmentent la valeur du résidu de carbone et leur contribution est incluse dans la valeur totale reportée.
NOTE 2 Les nitrates organiques additionnés dans certains combustibles distillés conduisent à des valeurs anormalement élevées de résidu de carbone. La présence de nitrates d'alkyle dans un combustible peut être détectée selon la méthode d'essai ISO 13759[3].
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