IEC 61788-4:2011
Supraconductivité - Partie 4: Mesure du rapport de résistance résiduelle - Rapport de résistance résiduelle des supraconducteurs composites de Nb-Ti
La CEI 61788-4:2011 spécifie une méthode d'essai pour la détermination du rapport de résistance résiduelle (RRR) de supraconducteurs composites constitués de filaments de Nb-Ti et d'une matrice de Cu, Cu-Ni ou Cu/Cu-Ni. Cette méthode est destinée à être utilisée avec des supraconducteurs présentant une structure monolithique avec une section rectangulaire ou circulaire, un rapport RRR inférieur à 350 et une surface de section inférieure à 3 mm2. Toutes les mesures sont effectuées sans appliquer de champ magnétique. La méthode décrite dans le corps de texte de la présente norme est la méthode de "référence" et des méthodes d'acquisition facultatives sont présentées à l'Article A.3. Cette troisième édition constitue une révision technique qui ajoute deux nouvelles annexes: "Considérations relatives à l'incertitude" (Annexe B) et "Evaluation de l'incertitude de la méthode d'essai de RRR (rapport de résistance résiduelle) de NbTi" (Annexe C). Le cuivre est utilisé comme matériau de matrice dans les supraconducteurs multifilamentaires et fonctionne comme une dérivation électrique lorsque la supraconductivité est interrompue. Il contribue également à la reprise de la supraconductivité en dirigeant la chaleur générée dans le supraconducteur vers le fluide de refroidissement environnant. La résistivité à la température cryogénique du cuivre est une grandeur importante qui influe sur la stabilité du supraconducteur. Le rapport de résistance résiduelle est défini comme le rapport entre la résistance du supraconducteur à température ambiante et celle immédiatement supérieure à la transition supraconductrice.
La CEI 61788-4:2011 spécifie une méthode d'essai pour la détermination du rapport de résistance résiduelle (RRR) de supraconducteurs composites constitués de filaments de Nb-Ti et d'une matrice de Cu, Cu-Ni ou Cu/Cu-Ni. Cette méthode est destinée à être utilisée avec des supraconducteurs présentant une structure monolithique avec une section rectangulaire ou circulaire, un rapport RRR inférieur à 350 et une surface de section inférieure à 3 mm2. Toutes les mesures sont effectuées sans appliquer de champ magnétique. La méthode décrite dans le corps de texte de la présente norme est la méthode de "référence" et des méthodes d'acquisition facultatives sont présentées à l'Article A.3. Cette troisième édition constitue une révision technique qui ajoute deux nouvelles annexes: "Considérations relatives à l'incertitude" (Annexe B) et "Evaluation de l'incertitude de la méthode d'essai de RRR (rapport de résistance résiduelle) de NbTi" (Annexe C). Le cuivre est utilisé comme matériau de matrice dans les supraconducteurs multifilamentaires et fonctionne comme une dérivation électrique lorsque la supraconductivité est interrompue. Il contribue également à la reprise de la supraconductivité en dirigeant la chaleur générée dans le supraconducteur vers le fluide de refroidissement environnant. La résistivité à la température cryogénique du cuivre est une grandeur importante qui influe sur la stabilité du supraconducteur. Le rapport de résistance résiduelle est défini comme le rapport entre la résistance du supraconducteur à température ambiante et celle immédiatement supérieure à la transition supraconductrice.
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